Victimes d’actes criminels : il faut parfois adapter les services selon l’état de la personne
Une victime d’agression s’adresse à la Direction générale de l’indemnisation des victimes d’actes criminels. L’organisme autorise un suivi psychologique, mais refuse que les séances se tiennent par téléphone. La victime, qui a du mal à se déplacer, porte plainte au Protecteur du citoyen.