Cloche d’appel : être attentif à la personne qui a besoin d’aide
Une citoyenne porte plainte contre un CHSLD, car on y a ignoré la demande d’aide d’une personne de sa famille.
Pour chaque plainte qu’il reçoit, le Protecteur du citoyen détermine s’il peut enquêter ou non. À la fin de l’enquête, si nous constatons qu’il y a eu erreur ou injustice, nous faisons des recommandations. Nous nous adressons aux autorités responsables pour faire corriger la situation. Voici des cas vécus qui présentent les grandes lignes de nos interventions.
Une citoyenne porte plainte contre un CHSLD, car on y a ignoré la demande d’aide d’une personne de sa famille.
Une citoyenne porte plainte contre la Direction générale de l’indemnisation des victimes d’actes criminels qui refuse de la rembourser pour l’installation d’une caméra de surveillance.
Une femme transgenre porte plainte contre un hôpital, car des membres du personnel la considèrent comme étant de sexe masculin.
Un citoyen porte plainte contre le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité sociale qui a annulé ses prestations.
Une mère porte plainte contre un CLSC qui n’a pas bien soutenu son fils.
Une citoyenne porte plainte contre Revenu Québec qui refuse de corriger son nom sur des documents officiels.
Une proche aidante s’occupe d’une dame qui réside en CHSLD. Cette dernière a des rougeurs sur la peau et n’a pas l’air confortable. La proche aidante porte plainte au Protecteur du citoyen.
Un homme voit l’un de ses problèmes de santé empirer après un accident de la route. Il achète le médicament prescrit pour l’apaiser, mais la Société de l’assurance automobile du Québec refuse de le rembourser. Il porte plainte au Protecteur du citoyen.
Un homme ayant subi un accident de travail dans le passé est victime d’une agression. On lui accorde des indemnités pour l’acte criminel subi. L’homme constate toutefois qu’elles le privent d’autres versements qu’il recevait auparavant. Il porte plainte au Protecteur du citoyen.
Un père n’a plus la garde de ses enfants, mais il tient à les voir. Un organisme communautaire l’inscrit sur une liste d’attente pour les visites supervisées. Toutefois, on ferme son dossier avant même qu’il ait pu voir ses enfants. L’homme porte plainte au Protecteur du citoyen.