DPJ : les intervenants doivent être bien formés et supervisés
Une mère porte plainte contre la Direction de la protection de la jeunesse qui a tardé à reconnaître qu’elle était victime de violence conjugale.
Pour chaque plainte qu’il reçoit, le Protecteur du citoyen détermine s’il peut enquêter ou non. À la fin de l’enquête, si nous constatons qu’il y a eu erreur ou injustice, nous faisons des recommandations. Nous nous adressons aux autorités responsables pour faire corriger la situation. Voici des cas vécus qui présentent les grandes lignes de nos interventions.
Une mère porte plainte contre la Direction de la protection de la jeunesse qui a tardé à reconnaître qu’elle était victime de violence conjugale.
Une personne âgée porte plainte contre le Tribunal administratif du logement qui l’empêche de transmettre d’importants documents.
Les proches d’une personne décédée portent plainte contre un CHSLD qui l’a hébergée sans pouvoir prendre bien soin d’elle.
Une citoyenne porte plainte contre Retraite Québec qui lui a demandé de rembourser 25 000 $.
Une dame porte plainte contre un organisme du réseau de la santé qui ne l’a pas bien accompagnée au moment d’offrir à son conjoint des soins palliatifs à domicile.
Une personne porte plainte contre le ministère de la Famille qui lui a fourni des informations contraires.
Une mère porte plainte contre un établissement de santé qui a réduit les soins d’hygiène offerts à son fils vivant avec un lourd handicap.
Un père porte plainte contre Retraite Québec qui ne lui a pas versé toute son Allocation famille.
Une dame porte plainte contre sa résidence privée pour aînés qui autorise le personnel à entrer chez elle sans son accord.
Un citoyen porte plainte contre le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale qui ne lui a pas versé toutes ses prestations spéciales.