Rapports annuels

Le protecteur du citoyen a déposé son rapport annuel 2022-2023 aujourd’hui, à l’Assemblée nationale. Cette année encore, il ressort de nombreuses enquêtes de son institution que le manque criant de personnel dans l’ensemble du réseau public de la santé et des services sociaux est le premier motif invoqué par les autorités pour expliquer les coupes, les réductions et les ruptures dans les services.

Extrait de l'allocution du protecteur du citoyen Marc-André Dowd lors du dépôt du rapport annuel 2021-2022 - Conférence de presse

Dans son Rapport annuel d’activités 2021-2022, le protecteur du citoyen constate que le cadre de vie habituel des personnes incarcérées s’est trouvé radicalement bouleversé par le manque de personnel et les conséquences de la pandémie, notamment les mesures pour lutter contre la contagion.

Dans son Rapport annuel d’activités 2021-2022, le protecteur du citoyen fait état de lacunes majeures de la part de ministères et d’organismes du gouvernement du Québec. Il relève également des fautes graves dans certaines administrations en matière d’intégrité publique.

Le protecteur du citoyen a déposé son rapport annuel 2021-2022 aujourd’hui, à l’Assemblée nationale. Année après année, son rapport annuel d'activités fait état de graves lacunes dans les services de santé et les services sociaux.

Dans son rapport annuel 2020-2021, la protectrice du citoyen souligne notamment que les mesures sanitaires implantées dans les établissements de détention en raison de la COVID-19 ont grandement bouleversé les pratiques habituelles et ont mis à mal les droits des personnes incarcérées.

Dans son rapport annuel 2020-2021, la protectrice du citoyen fait état de lacunes majeures dans la qualité des services publics de ministères et d’organismes du gouvernement du Québec. Les enquêtes de la dernière année ont également mis en lumière des actes répréhensibles dans certaines administrations.

Dans son rapport annuel 2020-2021, la protectrice du citoyen fait état de manquements majeurs dans le réseau de la santé et des services sociaux. Elle presse le gouvernement de reconnaître les problèmes récurrents, d’adopter et d’appliquer des solutions rapidement.