À l’issue de notre enquête, si nous concluons que la personne a bien subi des représailles, nous recommandons des correctifs. Nous nous adressons à la personne occupant la plus haute fonction au sein de l’organisme visé. Si les circonstances le justifient, nous nous adressons au ministre responsable de cet organisme.
Lorsque nous enquêtons sur une possible infraction à la Loi et que nous jugeons la preuve recueillie suffisante, nous transmettons le dossier au Directeur des poursuites criminelles et pénales. Il évaluera ensuite la possibilité d’une poursuite pénale.
Les personnes reconnues coupables d’une infraction sont passibles d’une amende de 2 000 $ à 20 000 $. L’amende peut aller de 10 000 $ à 250 000 $ pour les entreprises, associations et autres personnes morales. Ces amendes doublent en cas de récidive.
Consultez la section Traitement des plaintes en cas de représailles pour en savoir plus.