Pour chaque plainte qu’il reçoit, le Protecteur du citoyen détermine s’il peut enquêter ou non. À la fin de l’enquête, si nous constatons qu’il y a eu erreur ou injustice, nous faisons des recommandations. Nous nous adressons aux autorités responsables pour faire corriger la situation. Voici des cas vécus qui présentent les grandes lignes de nos interventions.
Une citoyenne demande à la Direction principale des biens non réclamés de déplacer une voiture. Vu le long délai de traitement de son dossier, elle porte plainte au Protecteur du citoyen.
Un citoyen ne peut pas corriger une information inscrite à son dossier au Registraire des entreprises (REQ). Alors qu’il est en communication avec le REQ pour régler le problème, il voit son entreprise radiée. Il porte plainte au Protecteur du citoyen.
Au palais de justice, un avocat trouve qu’il n’a pas assez d’intimité pour échanger avec ses clients ou clientes. Il porte plainte au Protecteur du citoyen.
Un citoyen tente d’obtenir de l’aide pour trouver un médecin de famille. Services Québec lui transmet des informations erronées. Estimant avoir été mal informé, il se plaint au Protecteur du citoyen.
Une entreprise estime qu’elle a perdu un client potentiel parce que ce dernier a reçu une mauvaise information de l’Office de la protection du consommateur. Un membre du personnel de l’entreprise en question porte plainte au Protecteur du citoyen.
